Voici la suite de Les voyages sac à dos… un mode de vie!

Un autre conseil important : ne portez pas de bijoux, mieux n’apportez pas de bijoux avec vous en voyage. Si vous le désirez, vous pouvez acheter des bijoux bon marché fabriqués par les artisans des villes et villages que vous traversez. En tout temps, restez discret en ce qui concerne ce qui est considéré comme un signe de richesse par les habitants locaux : poche ventrale extérieure pour l’argent, caméra en bandoulière, etc. Vous attirerez l’œil des voleurs. Le plus important, ne laissez jamais vos bagages sans surveillance. Si vous dormez dans un endroit public (une gare par exemple), attachez-vous à votre sac à dos.

Voyager en sac à dos est devenu très facile de nos jours avec les guides de voyage que vous vous procurez avant votre départ : Lonely Planet, le Routard, le Petit futé, Let’s go, etc. Il est possible de vous en procurer sur place, mais la plupart du temps, ce seront des guides photocopiés d’une version antérieure que vous paierez bien entendu une fraction du prix. Mais ce n’est pas à conseiller si vous voulez connaître les prix à jour pour l’hébergement et les repas. Quant à moi, j’ai une préférence pour le guide Lonely Planet qui fournit toutes les informations importantes sur le pays que vous visitez : sites à ne pas manquer, visas requis, coût de la vie, les us et coutumes, cartes de plusieurs villes, les endroits où se loger à bon prix, les bons petits restaurants et bien plus encore.

Sachez cependant que si vous habitez dans une auberge de jeunesse, vous aurez beaucoup de renseignements très pertinents des autres voyageurs en backpack sur les endroits qu’ils viennent juste de visiter. Dites-vous aussi que toutes ces recherches font partie des plaisirs du voyage à petit budget et vous permettent de parcourir à votre guise de nombreux pays sans vous ruiner.

Le monde du voyage est rempli de possibilités pour les gens curieux et désireux de s’évader du quotidien. Alors, à vos sacs, prêt, partez et faites de belles découvertes!

P.S. Merci à mon père Jacques qui m’a déjà accompagné dans mes voyages sac à dos et qui m’a aidé à rédiger cette chronique.